Notre Dévise

Hazi Usawa Umoja


samedi 24 janvier 2015

Djawabu Ya Komori condamne le licenciement abusif de Faïza SOULÉ, journaliste du quotidien Alwatwan.


L’abus de pouvoir dans le milieu du travail.

Peut-on licencier un salarié au seul prétexte qu’il s’est absenté pour des raisons médicales ? « L’abandon de poste » peut- il être requis contre un employé lorsque celui-ci a pris soin d’avertir et de justifier les raisons pour lesquelles, il ne peut pas s’acquitter de ses obligations liées à son travail ? Dans quelles conditions peut-on licencier un employé, qu’il soit du public ou du privé ?

On est en droit de se poser ces questions, lorsqu’un directeur abuse de sa fonction pour licencier un de ses employés sans motifs sérieux. Cela nous renvoi en l’occurrence au licenciement de notre compatriote Faiza SOULÉ qu’on peut qualifier d’abusif, si on se réfère aux faits. L’abandon de poste comme motif de licenciement, ne peut être évoqué qu’en cas de « faute grave ». « Cette dernière est constituée par l’absence injustifiée et prolongé en dépits des relances ». Or dans le cas présent, cela n’a pas été le cas. Etant donné que des preuves justifiant son absence existent. De plus, cette absence n’a pas entrainé visiblement une désorganisation sérieuse et réelle de  l’activité du journal.

La santé est l’un des droits fondamentaux de l’être humain, reconnu à l’échelle internationale. Ce droit est réitéré par divers instruments internationaux et régionaux de droits humains. Ce droit a été intégré dans divers constitutions nationales. Mais que dit la constitution comorienne à ce sujet ?

Selon la loi adoptée le 28 juin 2012 conformément à la constitution du 23 décembre 2001 régissant les relations entre employeurs et travailleurs, « l’absence du travailleur pendant le congé de maternité ou son absence temporaire en raison d’une maladie ou d’un accident dument attesté par un médecin ou par tout autre moyen valable », ne constitue pas un motif légitime de licenciement (voir article 44).  De même les droits du travailleur évoqués par l’article 45  de la dite loi, n’ont pas été non plus respectés.

Se soigner dans un pays dit de droit, ne doit pas constituer une faute pouvant entrainer une sanction aussi sévère. D’autres mesures disciplinaires auraient pu être appliquées avant d’avoir recours à une sanction aussi inflexible. Cette affaire devrait interpeller les hommes de loi. Un encadrement des mesures disciplinaires par la loi est plus que jamais nécessaire afin de limiter toutes les formes d’abus. Ces mesures disciplinaires doivent être prises selon les conditions et la procédure prévues par le droit du travail.

Au moment où dans beaucoup de pays, la bonne santé des citoyens devient une priorité, notre système de santé reste quasi inexistant et loin des préoccupations de nos dirigeants. Or la santé est un élément important en matière de productivité. Donc déterminant essentiel de la croissance économique et du développement.

Aujourd’hui, il est préconisé de faire des politiques centrées sur les personnes. Des politiques que les citoyens peuvent influer. Et leurs permettant en effet de faire entendre leurs voix et de disposer de leurs pleins droits en tant que citoyens. Aujourd’hui on peut se réjouir que le citoyen comorien puisse choisir en toute liberté ses représentants. Mais les droits et libertés du peuple comorien doivent aller au delà. Leurs droits les plus élémentaires ne doivent pas être bafoués.

Face à la précarité de notre système de santé, le citoyen est en droit d’aller se faire soigner où il peut. Le citoyen comorien ne demande pas mieux que de pouvoir acquérir des soins de santé de qualité dans son propre pays. Or même le système de santé primaire est déjà catastrophique par manque d’investissements, entre autres.

Il est temps que nos dirigeants se soucient de notre indépendance. Pas uniquement politique, mais économique et sociale. En réduisant notre dépendance excessive à l’égard de l’extérieur, on arriverait peut être à éviter des décisions fâcheuses qui ne font pas honneur à la démocratie et aux droits des citoyens.

Parti Djawabu Ya Komori
Délégation de France

lundi 12 janvier 2015

Communiqué sur les élections de 2015

    
 DJAWABU YA KOMORI
                          HAZI  USAWA   UMOJA

        Communiqué du 11 janvier 2015



En cette période de campagne électorale intensive, nous Djawabu Ya Komori, parti épris de démocratie et de liberté d’expression appelons les comoriens à participer massivement aux prochaines échéances électorales législatives, conseiller des îles et municipales.

Notre jeune démocratie a besoin d’une expression sincère des opinions de chacun pour évoluer. 
Notre parti dénonce avec la plus grande fermeté l’utilisation des moyens publics dans cette campagne électorale. De nombreux partis politiques comoriens en campagne, plus particulièrement ceux qui soutiennent l’exécutif utilisent des fonds détournés dans les caisses de l’Etat pour corrompre les esprits et acheter les voix des électeurs. 

Nous Djawabu Ya Komori, appelons les électeurs comoriens à refuser la dictature de l’argent et à effectuer leur devoir citoyens en toute indépendance et à choisir les candidats présentant des garanties de probité et d’honnêteté.

Nos candidats aux élections :

Représentant de la nation à l’assemblée nationale :

AHAMADA MAHAMOUDOU : circonscription Oichili-Dimani

Représentants au conseil de l’île de Ngazidja :

-MASSOUNDI ABDULANFOUR: Mbadjini- Pimba
-ALI ABDOU : Oichili.
-MMADI ALI MSA : Mboudé

 Conseillers municipaux :

Tête de liste : ALI NOMBAMBA OUMOURI : Mboudé- Nyuma Mdro Souheyili


Djawabu yakomori soutient le candidat du parti Mouroua, aux élections des députés pour la région de Mboudé Mitsamiouli : Ahmed Ali Djalim/Abdoulkarim Abdoussalam. 
Et Mouroua soutient également le candidat de Djawabu, Mmadi Ali Msa, aux élections de conseillers dans la région de Mboudé.

Djawabu yakomori apporte aussi son soutien aux candidats du CRAN dans la région de Dimani et au candidat Ali Mzé de la société civile dans la région de Bambao.

La Délégation de France

Djawabu sait faire la politique autrement avec des annonces concrètes et justes, un meeting réussi à Koimbani pour la candidature de Me MAHAMOUD

L’avocat Ahamada Mahamoud, candidat à la députation dans la circonscription Oichili-Dimani n’a pas pris de gant pour critiquer le régime en place et certains de ses adversaires lors de son meeting tenu samedi à Koimbani. Il appelle les électeurs à sanctionner le régime au pouvoir et à choisir les meilleurs qui sauront les défendre et jouer leur rôle d’élu.

« J’ai une dette envers cette région que j’aime tant. Nous avons le devoir de choisir le meilleur pour nous représenter à l’assemblée et je suis celui qui mérite votre confiance », a déclaré Me Mahamoud devant les électeurs de sa circonscription. « La santé, ce secteur est de plus en plus malade et a été achevée depuis la vente de la Pnac. Je m’engage à faire revenir la Pnac pour que les médicaments soient accessibles à tous (…) Je ne suis pas capable à moi tout seul de changer les choses. Chaque région doit donc choisir le plus honnête et le plus crédible », a-t-il poursuivi.
« Ils ont mis en place une commission anti-corruption depuis de 3 ans. On constate que c’est juste un groupe de personnes qui bénéficient d’un emploi et d’un salaire sans remplir leurs missions. Cette commission légalise et fait la promotion de la corruption au lieu de lutter contre », a déclaré l’avocat qui porte les couleurs du parti Djawabu, une formation politique regroupant des soilihistes. Me Ahamada Mahamoudou promet de se battre une fois élu pour baisser les indemnités et les salaires des autorités d’une part et de rehausser le budget alloué à l’éducation et à la santé, d’un autre.
« Des élus et des dirigeants de cette région sont indifférentes des problèmes quotidiens que nous rencontrons. C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne doit plus accorder notre confiance à ces gens qui ont passé leur vie en France et qui viennent nous rabâcher des solutions miraculeuses et jouer les messies aujourd’hui », a ajouté Me Mahamoud.
« Votez contre la mauvaise gestion et les détournements de fonds qui ont enfoncé ce pays dans le gouffre. Nous avons des richesses et ne répétez plus les mêmes erreurs. Ne confiez pas votre avenir aux mains de ceux qui n’hésiteront pas à vendre leur patrie pour se remplir les poches », a-t-il conclu.
Le porte-parole du parti Djawabu, Dr Abdouchakour, a laissé entendre que la région de Oichili-Dimani n’a pas su trouver les leaders et les élus pour la défendre. « Ne répétons pas les mêmes erreurs. Choisissons des hommes qui sauront et qui auront la volonté de nous défendre, pas ces hommes du pouvoir qui ont déjà prouvé leurs faiblesses et leurs mépris », a-t-il déclaré.
Me Baco, un des leaders du parti Ridja, a fait le déplacement pour apporter son soutien au candidat Mahamoud. « Le pays compte des hommes intègres et je citerai l’exemple de Me Mahamoud. L’assemblée nationale doit accueillir des élus qui connaissent les attentes du peuple et qui peuvent jouer leur rôle de député. Il ne faut pas se laisser leurrer car certains n’hésiteront pas à vous faire des promesses sans lendemain », a insisté l’avocat natif de Ouellah Mitsamiouli.
A.Abdillah Hamdi, Lagazette des Comores

mercredi 31 décembre 2014

Djawabu Ya Komori appel à voter ses candidats


Du 25 janvier au 18 Mars 2015, le peuple comorien est appelé à élire leurs représentants à l’assemblée nationale, aux conseils des iles et aux conseils municipaux. Au cours de ce grand rendez-vous indispensable pour l’équilibre de nos institutions et la solidification de la décentralisation dans notre pays, leparti Djawabu ya komori participe vigoureusement dans cette bataille pour défendre le peuple comorien à travers nos candidats présents dans les circonscriptions et régions suivantes:
 
Représentant de la nation à l’assemblée nationale :
AHAMADA MAHAMOUDOU: circonscription de Oichili-Dimani
 
Représentants au conseil de l’île de Ngazidja :
 -MASSOUNDI ABDULANFOUR: Mbadjini-Pimba
 -ALI ABDOU : Oichili.
 -MMADI ALI MSA : Mboudé
 
Conseillers municipaux :
Tête de liste : ALI NOMBAMBA OUMOURI : Mboudé- Nyuma Mdro-Souheyili


En effet, nous lançons un appel solennel à tous ceux et celles qui croient au changement à travers le soilihisme comme réponse à l'attente du peuple comorien dans sa soif de réussite par le travail et la défense du progrès social, l’intégrité territoriale, la justice, les valeurs de solidarité et d’équité ainsi que l’unité nationale à aller massivement voter pour nos candidats.

La Délégation de France

 

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Djawabu Ya Komori présente ses voeux de l'annéé 2015



En ce nouvel an, je tiens à adresser mes vœux de réussite et de succès à toutes les militantes et militants de la Délégation de France et à l’ensemble du parti Djawabu. Mais aussi à tous ceux et celles qui partagent l’espoir de voir notre pays devenir une nation prospère, libérée de toute forme d’injustice, d’exclusion et des inégalités. Un pays dans lequel règne la paix et la cohésion sociale sans lesquelles le développement n’est pas possible.

Je formule le vœu que le parti Djawabu devienne une force mobilisatrice, au-delà de ceux et celles qui partagent nos idéaux, autour d’une cause noble, celle de la défense de notre unité nationale. Que 2015 soit l’année de toutes les possibilités et de toutes les espérances. Et qu’au cours de cette nouvelle année qui commence, la Délégation de France, devienne le socle de notre parti, par ses fortes propositions et une mobilisation sans relâche, afin de lui permettre de reprendre toute la place qui lui revienne et faire face aux défis à venir.
Je profite de cette occasion pour lancer un appel, avec humilité, à tous ceux et celles qui aspirent au progrès et à un réel changement dans la gestion de la chose publique, à venir nous rejoindre.
A vous tous, je vous souhaite une année heureuse pleine de promesses et d’espoir.

Dr S.SITTI
Déléguée Générale
Délégation de France 

Candidats à la circonscription de Oichili-Dimani

Parmi les candidats de Djawabu Ya Komori dans les élections de janvier 2015, Vous trouverez Me MAHAMOUD AHAMADA pour la députation de la circonscription de Oichili-Dimani avec le soilihisme comme arme.

dimanche 28 décembre 2014

Djawabu Ya Komori s' explique sur la cérémonie dédiée au Mongozi 40 ans après la révolution



A l'approche des 40 anniversaires de la révolution comorienne, le 3 aout prochain, la mémoire du commandant des commandeurs, le mongozi Ali SOILIH suscite un engouement sans précédent et même temps divise les soilihistes convaincus et les psodo-soilihistes. Cela va sans dire que le haut conseil international de la réhabilitation du MONGOZI met en ce moment les petits plats dans les grands pour réussir ce grand rendez-vous avec l'histoire. Pour comprendre les raisons de cette divergence d'opinions, le leader du parti DJAWABU, le Dr youssouf SAID SOILIHI a accepté de répondre à nos questions.

Mbadakome : Docteur, cela fait 39 ans depuis qu'il ait eu l'avènement dans notre pays de la révolution comorienne, YE SIYASA YA KI NANTSI, tout comme cela fait 36 ans depuis que le guide de cette révolution a été assassiné lâchement par le régime sanguinaire d'ABDALLAH et TAKI. Dites-nous pourquoi, il fallait attendre 40 ans pour organiser la réhabilitation internationale du MONGOZI et quel est l'intérêt que peut susciter une telle mobilisation ?

Dr Youssouf SAID SOILIHI :
Je vous remercie d votre question et de l'opportunité que vous m'offrez en m'interrogeant sur une question d'importance cardinale qui revêt une actualité. Votre question peut se subdiviser en deux : pourquoi cette manifestation maintenant, 40 ans après le déclenchement de la révolution du 3 août dont nous savons qu'elle a été brisée ? Ensuite, quel intérêt peut susciter une telle mobilisation ?
Pour le premier aspect de la question, permettez de vous renvoyer aux initiateurs de cette organisation. N'en faisant pas partie, je ne peux me prononcer à ce sujet. Par contre, je puis vous dire que je m'y associe pas en raison du fait que je ne vois pas ni son opportunité ni son utilité. Les organisateurs parlent d'une réhabilitation internationale. C'est un abus de langage. Quel est l'organisme international qui la parraine ? Si son caractère international viendrait du fait que les organisateurs convieraient des personnalités extérieures aux Comores, je suis loin de partager ce point de vue. Car ce ne serait pas la première fois que des 
comoriens organiseraient une manifestation portant sur la révolution conduite par Ali Soilih. L'organisation de la jeunesse comorienne(OJC) que j'avais dirigé un moment avait organisé un symposium international à Marseille sur cette' expérience révolutionnaire en 1985 avec la participation de personnalités étrangères.Quant au deuxième aspect, attendons voir si elle va mobiliser des gens ou pas. Car de nombreuses questions se posent sur les organisateurs et sur les buts inavoués qui se cachent derrière cette manifestation.

Mbadakome : Cette réhabilitation qui se veut être hors du commun est chapeautée, il y a de cela 2 mois par le haut conseil international de la réhabilitation de la mémoire du Mongozi . Alors qui sont ces personnes qui chapeautent ce haut conseil et serait-il un comité désigné par les partis soilihistes toutes tendances confondues ?

Dr youssouf SAID SOILIHI :
Le haut conseil international de la réhabilitation de la mémoire du Mongozi, je n'en ai jamais entendu parler. Quels sont ses dirigeants ? Sont-ce des soilihistes et lesquels ?
Ali Soilih fut un grand Homme duquel peuvent se réclamer plusieurs catégories de gens.S'agit-il de ses compagnons de route du Mranda ou de l'UMMA ? J'en doute puisque ceux -là l'ont accompagné au pouvoir et petit à petit l'ont abandonné du fait que la révolution ne correspondait pas du tout à leur entendement, à leur vision des changements qui devraient s'opérer aux Comores.S'agit-il des anciens membres du Front National Uni dont certains avaient pris part , du moins au début, à la gouvernance du pays et qui, petit à petit, sont devenus ses opposants. Ceux qui sont restés au gouvernement ou au sein de l'administration centrale ou décentralisée, se sont plongés dans un silence assourdissant après l'assassinat du Mongozi. L'opinion publique comorienne et dans une certaine mesure internationale attendent d'eux plutôt des explications sur la part qu'ils ont prise dans l'exercice du pouvoir et dans son échec. On reproche à certains d'entre eux d'avoir du sang d'Ali Soilih dans leurs mains. Sont-ce ceux-là qui se cachent derrière cette organisation appelée conseil international ?
S'agit-il de ceux qui avaient en charge la gouvernance sécuritaire ? Qui avaient la responsabilité de l'appareil sécuritaire du régime et donc de la sécurité du Mongozi ? J'en doute car ceux-ci figurent parmi ceux qui sont plongés dans le mutisme total comme si ils évitent de devoir répondre aux questions sur leur responsabilité dans cet élan brisé.
S'agit-il des anciens membres du pouvoir populaire dont je fais partie, je ne le crois pas car nous avons tout fait pour réhabiliter le Mongozi et nous avons réussi. Dès son assassinat, nous nous sommes organisés pour cette réhabilitation.S'agit-il des anciens de la diaspora qui avaient soutenu le Mongozi ? Non car ces gens ont disparu de la circulation et ont opté pour d'autres politiques.S'agit-il de personnes qui n'avaient pas pris part au régime et qui se réclameraient d'Ali Soilih, aujourd'huio ? Pourquoi pas ? Mais pourquoi attendre 40 ans ?
Qui les a désigné? Aucune idée. En tout cas, Djawabu n'a pas été ni consulté et encore moins associé. Je puis donc dire qu'ils n'ont pas été choisi par les organisations se réclamant d'Ali Soilih car Djawabu en fait partie et notre parti n'est pas au courant.

Mbadakome : Docteur, les élections présidentielles de 2016 s'approchent à grand pas, selon vous, quelles sont les enjeux de ces élections et qu'elle sera la place du soilihisme au cours de ces élections?

Dr youssouf SAID SOILIHI :
Quels sont les enjeux des élections de 2016 ?
L'histoire des Comores nous montre que nous n'avons pas réussi à bâtir un État et une Nation qui cadrent avec notre société, notre insularité, notre africanité, notre islamité. Nous ne sommes pas parvenus à construire une société bâtie sur des valeurs respectueuse de l'intérêt général. Alors, nous devons militer pour une nouvelle République, un Etat et une Nation dont nous serons fiers de défendre.
La place du soilihisme se trouvera sur la défense des valeurs qu'Ali Soilih avait prônées et promues : la défense de l'intégrité territoriale, de l'unité nationale et des valeurs d'équité, de solidarité, de justice, d'intégrité morale et de respect de la chose publique.
Merci Dr youssouf SAID SOILIHI .

Mbadakome